Pierre mondy vie famille de mots

Anny Duperey

French actress, photographer and author

Anny Duperey (French pronunciation:[anidyp(ə)ʁɛ]; born Annie Legras; 28 June 1947) is a Frenchactress, published photographer and best-selling author with a career spanning almost six decades as of 2021 and more than eighty cinema or television credits, around thirty theatre productions and 15 books. She is a five-time Molière Award for Best Actress nominee (known as the French Tony Awards), was awarded two 7 d'Or (equivalent to the Emmy Awards) and was nominated for the César Award for Best Supporting Actress (known as the French Oscars) for Yves Robert's Pardon Mon Affaire (1976). In 1977, she received the Prix Alice-Louis-Barthou [fr] awarded by the Académie Française. She is more commercially known for her leading role as Catherine Beaumont in the TF1 hit seriesUne famille formidable which ran for 15 seasons (1992-2018) regularly topping national primetime viewership numbers and also broadcast throughout French-speaking Europe peaking at 11 million viewers in France alone. Some of her most notable feature films include Jean-Luc Godard's Two or Three Things I Know About Her (1967); Roger Vadim's Spirits of the Dead (1968); André Hunebelle's The Return of Monte Cristo (1968); Alain Resnais' Stavisky (1974); Umberto Lenzi's From Hell to Victory (1979); Henri Verneuil's A Thousand Billion Dollars (1982), Claude Berri's Germinal (1993) or Alain Resnais' You Ain't Seen Nothin' Yet (2012). Her trapeze number for the Gala de l'Union des artistes [fr] with Francis Perrin as well as her 'red dress scene' with Jean Rochefort swaying her hips as

  • Bernard giraudeau
    1. Pierre mondy vie famille de mots
  • Cris campion
  • Fragments d’un dictionnaire amoureux : Bernard Musson

    Bernard Musson dans « La vampire nue »

    Parmi les prolifiques du cinéma français, il y a un comédien qui a une place particulière, c’est Bernard Musson. Il est assez vain de tenter de faire son portrait après celui excellent fait par Etienne Colson dans « La lettre des comédiens », mais je tente tout de même. Ce portrait formidablement rédigé était important, car ce comédien étaitoublié des dictionnaires, dans la foulée Jean Tulard s’en sert pour le faire figurer dans son dictionnaire. Colson rapportait un extrait du livre de Frédéric Dard, « Les oreilles et la queue » (1984), où il parlait du comédien, on peut le retrouver dans les mémoires du comédien consultables,initiative intéressante sur leweb, avis aux éditeurs… .Dès le début des années 50, on le remarque, même s’il est souvent l’un des éternels non crédités des génériques. De par sa prestance et son côté incisif, il transforme la moindre de ses figurations en véritable rôle. Il est vrai qu’il a une tête de plus que tout le monde, on ne voit que lui par exemple dans « Les dents longues », quand il figure en journaliste fumeur. On trouve toujours un film à rajouter à sa filmographie, au détour d’une diffusion du câble, on le découvre ainsi en unique client d’un magasin d’électroménager d’un petit village dans « C’est arrivé à 36 chandelles », que l’on imagine presque installé à demeure. Sa voix est aussi très familière, il n’est pas rare de l’entendre au cours d’un doublage de film. Le premier réflexe est de le chercher parmi les domestiques, les valets, les laquais, les majordomes ou les concierges d’hôtel. Il est souvent l’huissier présentant le petit monde des élites à la cantonade, on le voit ainsi à Matignon dans « Chacal » version Zinnemann ou dans une cérémonie huppée dans « Comment épouser un premier ministre ». On n’en finit plus de le répertorier dans ce type d’emploi, sa voix aide à le rec

    Par Gonzague Lombard | Rédacteur

    Passionné de chant, des Douze coups de midi et de la discographie de Jul, il rêve de participer à Fort Boyard malgré sa phobie des serpents et du Père Fouras. Son ambition secrète ? Découvrir ce qui se cache derrière le rideau mystère de Bataille et Fontaine pour y chanter en quartet. La vérité est au bout du couloir…

    La maison d'Audrey Lamy, située dans le sud de la France, a été cambriolée. Trois malfrats ont été jugés le 3 avril 2024 mais l'actrice n'avait pas souhaité porter plainte.

    Audrey Lamy cambriolée, plus de 18 000€ de préjudice... on sait pourquoi elle a refusé de porter plainte !

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    Elle était sous le choc quand elle a appris que sa maison, située dans le département de l'Hérault, avait été cambriolée. Audrey Lamy se trouvait à l'autre bout de la France, en plein tournage, quand sa gouvernante l'a contactée pour lui expliquer les faits. Au total, 18 200€ de préjudices ont été relevés, avec le vol, notamment, de plusieurs bijoux et de sacs à main de créateurs. Pour autant, la comédienne, récemment à l'affiche de la quatrième saison de l'émission LOL, qui rit sort, sur Amazon Prime, n'avait pas souhaité porter plainte contre les malfrats.

    Audrey Lamy "touchée en plein coeur"

    Et pour cause. Les hommes suspectés d'avoir cambriolé la maison d'Audrey Lamy sont d'origine italo-bosniaque. En découvrant qu'il s'agissait d'immigrés d'Europe de l'Est en situation irrégulière, l'actrice de 43 ans aurait été "touchée en plein coeur". D'après les informations du magazine Public, dans son édition du vendredi 12 avril 2024, la compagne de Thomas Sabatier "aurait préféré laisser couler" plutôt que d'ajouter des charges au dossier. Les cambrioleurs auraient également pénétré illégalement dans une quinzaine d'autres demeures au cours du dernier trimestre 2022.

    Cambriolage d'Audrey Lamy, le verdict tombe

    Leur procès s'est tenu le 3 avril 2024 selon le jou

    Théâtre de la Michodière

    Theatre in Paris, France

    The Théâtre de la Michodière (French pronunciation:[teɑtʁdəlamiʃɔdjɛʁ]) is a theatre building and performing arts venue, located at 4 bis, rue de La Michodière [fr] in the 2nd arrondissement of Paris. Built by Auguste Bluysen [fr] in 1925 in Art Deco style, it has a tradition of showing boulevard theatre.

    History

    On the site of the Hotel de Lorge, sold in lots, the rue de la Michodiere opened in 1778. Around the place where the Gaillon gate stood at the enclosure of Louis XIII, in 1925, the architect Auguste Bluysen [fr] built a theatre in the Art Deco style. Decorated by Jacques-Émile Ruhlmann, the red and gold auditorium could accommodate 800 spectators, but in the 21st century, it has only 700 seats left.

    Unlike the West End, where the activities of "bricks and mortar" and producers tend to be separate, Parisian commercial theatres are producing houses. Management decides on the artistic policy, and shows are financed by the theatre, albeit sometimes in co-production with a touring management that hopes to profit from a Parisian success to take a show out on tour.

    Inaugurated on 16 November 1925 under the management of Gustave Quinson, from 1927 to 1977 it was run by actor-managers who made the success of its shows: Victor Boucher, Yvonne Printemps, Pierre Fresnay, François Périer, with works by Édouard Bourdet, André Roussin, Jean Anouilh, Marcel Achard and Françoise Dorin. By public demand, the theatre specialised in boulevard plays, as evidenced by the many old posters that could be seen on its walls. The theatre was co-directed by Fresnay and Printemps until his death in 1975. Printemps remained alone at the head of the theatre, until she died in 1977.

    The theatre went into receivership, and after a brief period of being run by ATECA association, was bought from the receivers in September 1981